Dimen­sions : For­mat A6 (148 x 105 mm)

Laurent Peteuil

Lot de 3 cartes postales

sur le thème de la Grèce antique

10,00 

33 en stock

L’univers ici déployé est celui de la Grèce antique à travers 3 formats partageant certains motifs communs. L’idée était de réemployer ce matériel de façon ludique et créative.

Carte 1. La chouette

La chouette est un ani­mal emblé­ma­tique de la mytho­lo­gie grecque (sym­bole de l’Institut Iliade, fami­lier de la déesse Athé­na). L’au­teur a habillé ce rapace noc­turne, gra­cieux et insai­sis­sable, d’une sil­houette vide afin que seule sub­siste la finesse de son des­sin. Déli­cate et éthé­rée celle-ci laisse appa­raître en fond un décor de figures noires ins­pi­ré des céra­miques de la Grèce antique. Le fond agit comme un camou­flage esthé­tique pou­vant rap­pe­ler le pay­sage ombra­gé des forêts où vit l’animal.

Carte 2. Les dresseurs

Une com­po­si­tion de motifs, de rythmes et de cou­leurs, réso­lu­ment gra­phique. La sil­houette du che­val est com­po­sée en alter­nance avec et sans son dres­seur lais­sant appa­raître un vide évo­quant l’univers sen­sible des céra­miques bri­sées, si nom­breuses au sein des mono­gra­phies antique et si prompte à nous émou­voir. C’est la poé­sie du fragment.

Carte 3. Poséidon

Le dieu de la mer et des océans est ici illus­tré sous un aspect rap­pe­lant le motif ondu­lé et par­fois chao­tique des vagues. Il sur­plombe une cité englou­tie sous les eaux ou bien enter­rée sous la terre. Une sorte d’Atlantide où les temples côtoient leurs échos ultra-marins. Au pied de la com­po­si­tion, on aper­çoit une trière, vais­seau emblé­ma­tique de la tha­las­so­cra­tie grecque.

À propos de l’auteur

Diplô­mé en desi­gn gra­phique par l’école supé­rieure des Arts appli­qués de Bour­gogne et les Beaux-arts de Lyon, Laurent Peteuil tra­vaille en tant que gra­phiste indé­pen­dant avec des acteurs de sec­teurs variés. For­mé au des­sin de carac­tère, à la créa­tion d’identité visuelle, au desi­gn édi­to­rial et plus récem­ment au web desi­gn, il reste atten­tif à la sen­si­bi­li­té des formes et aux dis­cours qu’elles sup­portent avec un inté­rêt sin­cère et pro­fond pour l’héritage euro­péen, qu’il soit antique, médié­val ou moderne. Il aime jouer sur ce qui dif­fé­ren­cie ces patri­moines comme sur ce qui les rap­proche, car ils sont tous, selon lui, l’expression de la sin­gu­la­ri­té de ce que nous avons tou­jours été.